Etat-collectivités : pour une coopération dynamique en matière de sécurité
Publiée le 02/10/2010 -
Communiqué de presse de l'Association des maires Ville et Banlieue de France
20 septembre 2010 - Le Forum français pour la sécurité urbaine (FFSU), l’association des maires Ville et Banlieue et d’autres associations d’élus locaux sollicitent la tenue d'une table ronde Etat-collectivités après la polémique de l'été sur la responsabilité de ces élus en matière de sécurité.
Dans un communiqué, Charles Gautier, maire de Saint-Herblain (44 - Loire Atlantique), président de la FFSU, et Claude Dilain, maire de Clichy-sous-Bois (93-Seine-Saint-Denis) et président de l’AMVBF, et d’autres élus, considèrent que cette table ronde permettrait de "clarifier les compétences de chacun, dissiper les malentendus, affiner les nouveaux enjeux de la sécurité publique, relancer une coopération dynamique et durable, et en déterminer les moyens nécessaires".
"La politique de sécurité et de prévention est le fruit d'un multipartenariat entre l'Etat et les collectivités locales dans le cadre de leurs compétences respectives", ajoutent-ils. Ils souhaitent "que des fonds conséquents et pérennes soient alloués à la prévention de la criminalité", la vidéosurveillance "ne pouvant remplacer les personnels de terrain".
20 septembre 2010 - Le Forum français pour la sécurité urbaine (FFSU), l’association des maires Ville et Banlieue et d’autres associations d’élus locaux sollicitent la tenue d'une table ronde Etat-collectivités après la polémique de l'été sur la responsabilité de ces élus en matière de sécurité.
Dans un communiqué, Charles Gautier, maire de Saint-Herblain (44 - Loire Atlantique), président de la FFSU, et Claude Dilain, maire de Clichy-sous-Bois (93-Seine-Saint-Denis) et président de l’AMVBF, et d’autres élus, considèrent que cette table ronde permettrait de "clarifier les compétences de chacun, dissiper les malentendus, affiner les nouveaux enjeux de la sécurité publique, relancer une coopération dynamique et durable, et en déterminer les moyens nécessaires".
"La politique de sécurité et de prévention est le fruit d'un multipartenariat entre l'Etat et les collectivités locales dans le cadre de leurs compétences respectives", ajoutent-ils. Ils souhaitent "que des fonds conséquents et pérennes soient alloués à la prévention de la criminalité", la vidéosurveillance "ne pouvant remplacer les personnels de terrain".